La réponse dans ce billet. Galéa, à votre service, toujours avec bonne foi, impartialité et honnêteté intellectuelle (Val c'est tout pour toi copine, vu que tu ne regardes jamais cette émission).
Pour m'accompagner dans cette tâche difficile de rapporteur (j'aime ce mot, ça fait jurée de thèse, ça me donne de l'importance), j'ai nommé l'Homme: la grosse trentaine (quasi quadra quoi), avec 12 livres par an à son actif (10 de cuisine, 1 polar, 1 SF). LGL c'est son compromis conjugal, sa corvée à lui. Son émission préférée (no comment notre mariage a failli ne pas s'en remettre), est Storage Wars (j'ai dit no comment).. Il sera donc notre caution "Grand public-Petit lecteur-Liens du mariage". J'espère que vous mesurez l'exigence intellectuelle de notre démarche.
En quelques mots impartiaux, voici donc ce qu'il fallait retenir de cette émission de rentrée.
Le point Busnel (look et posture)...ma Comète si tu passes par là, poursuis ta route, notre amitié vaut plus que ça (et tu nous manques aussi). François nous revient donc, le cheveu plus brillant que jamais, brushing impeccable, teint frais et bronzé, l'oeil profond et joyeux, et, détail non négligeable, il a rasé son malheureux bouc de vacances (il le fallait François, ce bouc ce n'était pas vraiment toi). La posture est toujours aussi étudiée (il doit s'entraîner devant sa glace le matin), quoique cette année on notera une vraie volonté de ne plus passer pour le journaliste complaisant du Service Public.
On commence par une jeune auteur belge, inconnue du grand public, qui a mis 10 ans à écrire un premier roman de 1 000 pages, publié chez un éditeur régional sans visibilité: j'ai nommé Amélie Nothomb avec Le Crime du comte de Neuville chez Albin Michel. Merci à Busnel de prendre de tels risques....
Oh ça va je rigole. Amélie c'est comme la liste des fournitures scolaires, ça fait partie du package de la rentrée : incontournable.
Une Amélie moins fantasque que d'habitude, sans chapeau, ni extravagance (certes avec des gants). Mais même si elle a tenté d'être un peu bouillante avec un "entre vous et moi François, tout est possible", elle dégageait une impression de tristesse. Sans être l'une de ses ferventes lectrices, je la trouve néanmoins toujours aussi sympathique et bien élevée, et j'aime l'écouter parler de ses livres, nous présentant cette fois "un policier à rebours", où son père aurait inspiré le principal personnage, tout en nous évoquant Wilde en contrepoint.
Une Amélie moins fantasque que d'habitude, sans chapeau, ni extravagance (certes avec des gants). Mais même si elle a tenté d'être un peu bouillante avec un "entre vous et moi François, tout est possible", elle dégageait une impression de tristesse. Sans être l'une de ses ferventes lectrices, je la trouve néanmoins toujours aussi sympathique et bien élevée, et j'aime l'écouter parler de ses livres, nous présentant cette fois "un policier à rebours", où son père aurait inspiré le principal personnage, tout en nous évoquant Wilde en contrepoint.
En face d'elle, un Busnel qui tente un peu de subversion, en relayant les reproches habituellement faits à Amélie, en se cachant derrière "les autres" avec un "Combien de livres en trop dans votre bibliographie?", puis "Pompez un grand auteur pour écrire un livre, ça ne vous choque pas?". Mais Amélie, qui en a vu d'autres et qui ne s'émeut pas de cela, élude les questions sans trop s'en formaliser (et quelque part on la comprend, car son lectorat existe et elle n'a besoin d'aucune émission pour vendre des livres, et tant mieux).
Pourtant on ne va pas se mentir, cet opus-là n'est pas des mieux accueillis. L'un dans l'autre, on ne peut pas faire le carton plein tous les ans. Même Laure, ma référence Nothombesque, a été assez déçue, (oh Laure ne te cache pas va), mais à la limite qu'à cela ne tienne. C'est toujours un plaisir de voir Busnel survendre un roman "fantasque" et "drôle", avant de se lancer dans une psychanalyse un peu inquiétante, sur le mal-être, la dépression et l'envie de mourir. Le coup de la petite musique de Schubert pour éventuellement faire monter les larmes de la romancière, était vaguement en trop (mais on pardonne, hein, il faut bien lancer la saison). Remarque de l'Homme : "Elle n'a pas l'air en forme Amélie". Oui, une Amélie en sous-régime, toujours aussi attachante, aussi sincère aussi touchante, moins exubérante qu'habituellement, mais il y avait quelque chose de beau et de fragile chez elle hier soir.
Pourtant on ne va pas se mentir, cet opus-là n'est pas des mieux accueillis. L'un dans l'autre, on ne peut pas faire le carton plein tous les ans. Même Laure, ma référence Nothombesque, a été assez déçue, (oh Laure ne te cache pas va), mais à la limite qu'à cela ne tienne. C'est toujours un plaisir de voir Busnel survendre un roman "fantasque" et "drôle", avant de se lancer dans une psychanalyse un peu inquiétante, sur le mal-être, la dépression et l'envie de mourir. Le coup de la petite musique de Schubert pour éventuellement faire monter les larmes de la romancière, était vaguement en trop (mais on pardonne, hein, il faut bien lancer la saison). Remarque de l'Homme : "Elle n'a pas l'air en forme Amélie". Oui, une Amélie en sous-régime, toujours aussi attachante, aussi sincère aussi touchante, moins exubérante qu'habituellement, mais il y avait quelque chose de beau et de fragile chez elle hier soir.
On enchaîne avec l'un des chouchous de cette rentrée (le mien en tous les cas ...et celui de ma clique aussi) : le très attendu Laurent Binet avec sa Septième fonction du langage chez Grasset (intervention de l'Homme : "le titre ne me tente pas des masses". Mon Homme quoi), mais ça c'est sans compter Delphine Olympe et bien d'autres qui en ont fait un coup de coeur absolu.
A la question : peut-on réussir sa vie avec un nom aussi peu glamour à porter que Binet? le réponse est oui..surtout si on est beau gosse avec une chemise rose, qu'on répond à toutes les questions sans se démonter ni s'écouter parler.
Bon moi qui adore les complots, les histoires à double fond et les manuscrits cachés, les allusions méchantes qui s'en prennent à des icônes, je me languis de le lire. On sentirait presque notre François un peu jaloux, un peu taquin de l'assurance du romancier et de ses réponses. Il a même relevé une petite erreur, comme quoi Téléphone n'a pas pu chanter "Ca c'est vraiment toi" en 1981, puisque la chanson n'est sortie qu'en 1982. Mouaich. c'est un peu mesquin ça François. Alors clairement, on arrête de dire que c'est un type complaisant Busnel, c'est un punk en fait!!! Il dénonce quoi.
Binet entre dans mon panthéon personnel grâce à quelques mots : "En France on a le droit de se moquer de Dieu, on peut-être aussi se moquer de Philippe Sollers". C'est une phrase qu'on gagnerait tous à méditer. On notera néanmoins à la mi-temps de l'émission, quelques minutes de grâce avec une Amélie, transformée d'enthousiasme, qui vend le livre de son collègue, avec un engouement communicatif. On a beau dire ce que l'on veut, Amélie quand elle dit qu'elle aime un livre, elle sait dire pourquoi.
"Tu veux vraiment le lire ce livre?", dixit l'Homme (autant il va me l'offrir, allez on peut rêver).
"Tu veux vraiment le lire ce livre?", dixit l'Homme (autant il va me l'offrir, allez on peut rêver).
La question qui subsiste, faut-il avoir une sacrée culture germanopratine pour saisir toute l'ironie de Binet? Sans avoir lu tout Barthes, Deleuze et Derrida, ai-je une chance d'être à la hauteur du roman? Réponse tout bientôt, car je n'attendrai sans doute pas Noël pour le savoir.
On poursuit avec un peu d'exotisme outre-atlantique, parce que la littérature ce n'est pas que de la francophonie avec une interview du grand Jim Harrison qui sort Péchés capitaux chez Flammarion. C'est donc la séquence magnéto avec Busnel en voix off et l'auteur en gros plan, dans son chez lui s'il vous plait. On a eu le droit aux beaux paysages du Montana (Keisha a du se régaler), ce qui compense (visuellement) les dents qui manquent à Jim Harrison quand même (pardon mais je bloque sur les dents, c'est mon TOC à moi). Bon au moins, il est crédible concernant la ruralité profonde américaine.
Finalement, c'est plus un portrait d'auteur, d'un type au seuil de sa vie, un peu cabossé, vaguement repenti, qu'une présentation du livre mais l'intérêt de cet entretien était ailleurs, même si on sait qu'il s'agit, dans ce roman, d'une vieux policier à la retraite...Mais la beauté du discours d'Harrison, son recul sur la société, son regard très acéré sur la civilisation américaine, son environnement dépouillé et sans ostentation, avaient quelque chose de particulièrement troublants. Harrison nous parle de la fracture américaine, quelque part il a renoncé à un certain sens de l'esthétique pour s'approcher d'une réalité finalement assez crue, il définit ce qu'il appelle le 8ème pêché capital de l'histoire de l'Amérique (et sans doute de l'histoire de l'Humanité en général): la violence. Un beau moment de télévision de mon point de vue.
Du coup la transition a été rude avec Astrid Manfredi qui publie La Petite Barbare chez Belfond, le coup de coeur absolu de notre François. Rien de moins que "la révélation de la rentrée littéraire".
La prestation de l'auteur était pour le moins poussive et difficile, avec tics de langage, alignement de poncifs éculés et déballage de banalités diverses sur la banlieue, les femmes, l'argent. Je fais partie de ceux qui saturent de la phrase convenue :'être né du "mauvais côté du périphérique" et de ce que ça sous-entend. Cette Petite Barbare qui n'a que sa beauté pour s'en sortir me donne une vague impression de déjà entendu. Je ne vais pas cacher non plus être un peu gênée que ce roman soit inspiré de l'affreux faistdivers dans lequel Ilan Halimi a perdu la vie dans des conditions totalement monstrueuses.
Je n'adhère pas tellement au postulat de base, ni dans le fond, ni dans la forme, mais la littérature a tous les droits de mon point de vue donc peu m'importe. Je ne vais donc même pas m'attarder sur cette prestation, car c'était son premier passage à la télévision, et je serais un peu gênée aux entournures de dénoncer cela, quand je menaçais de mort ceux qui se moquaient de l'élocution balbutiante de Modiano. Dans la vie, il fait être cohérent et honnête (enfin parfois).
Non, par contre, mon vrai problème avec Astrid Manfredi est son absence totale d'humilité doublée de son fan club d'acharnés. Si je suis complètement transparente, j'avouerais bien sûr que je l'attendais au tournant, qu'elle avait peu de chance de me plaire parce que j'avais moyennement digéré ce qu'elle faisait des critiques des blogueurs qui n'avaient pas l'intelligence nécessaire pour comprendre son talent. Car oui, des lecteurs ont osé se plaindre d'une écriture trop relâchée ou de l'absence d'empathie envers ses personnages...Rien de très méchant, mais loin des enthousiasmes des premiers billets. Quand je dis que Facebook est le pire de nous même, je ne pense vraiment pas me tromper. Pas de chance pour elle, mon premier contact fut facebookien et est irréversible. Le fait que les esprits critiques (de mes amis en plus) aient été un peu lynchés par le fan club de Manfredi, et que des blogueurs que j'aiment soient taxés de gens aigris, jaloux, et qui n'ont rien compris à son talent, m'a définitivement refroidie. Et là j'utilise un euphémisme avec "refroidie", parce que si les blogueurs ne peuvent plus émettre de réserves sur un roman sans déclencher de tels posts sur les réseaux sociaux, c'est que notre média à nous, gens de l'ombre et de l'invisible, est vérolé jusqu'à l'os.
Et la dithyrambe de Busnel n'a pas réussi à sauver l'ensemble. Je sais qu'on peut être un grand écrivain et ne pas savoir parler de son livre, je sais qu'on peut mal se comporter socialement et avoir du génie, je sais qu'on peur être caractériel et prétentieux et envoyer du lourd en littérature...tout ça je le sais. Mais je passerai mon tour sur ce coup. La fin de l'émission a été globalement douloureuse pour moi, à l'image de Nothomb qui semblait affligée ou dubitative, elle qui avait été intarissable sur Binet, elle hochait vaguement la tête quand Busnel tentait de la faire participer. Quant à Binet, on n'a plus eu de nouvelles de lui avant le générique. Alors même si on nous promet avec La Petite barbare "la lumière du diamant quand il est brut", je vais m'en tenir à l'avis de ma copine Philisine, un avis sans excès, sans insulte ni méchanceté, mais un avis sincère qui ne donne pas envie de lire (en espérant ne pas être lynchée publiquement à mon tour pour avoir osé publier cela).
Le mot de la fin sera "Voilà" qui a été dit 2438 fois en 12 minutes ( à la louche).
A la semaine prochaine (sans doute)
Mais pourquoi attendre avec autant d'impatience LGL ? Je ne regarde plus qu'occasionnellement ou alors je ne regarde en replay que le sauteurs qui m'intéressent. Je me suis quelque peu lassée de l'homme à la mèche au vent. Par contre, je vais être obligée de regarder celui d'hier pour me faire un avis sur la prestation d'Astrid Manfredi, même si son post dorénavant effacé m'a donnée une idée du personnage. Et puis, j'attends ta lecture de Binet, je ne suis pas non plus une spécialiste de Barthes et j'aimerais bien savoir s'il est possible d'apprécier son roman sans les références.
RépondreSupprimerOui au fond c'est toi qui a raison, grand sage Titine, il arrive que je regarde pour en dire du mal parfois, ce qui est moche. J'espère avoir le Binet avec PM, mais sinon il sera sur ma liste de Noël, je suis inculte sur tout ce qui concerne Barthes donc je serai un excellent testeur.
SupprimerPlein de bises chef.
Tu te lances dans les compte-rendu hebdomadaires de LGL ? Je m'en réjouis si oui, je ne parviens jamais à regarder l'émission en entier (Busnel m'agace, et je n'accroche pas aux émissions littéraires en général). J'ai fait un effort / ma curieuse cette fois suite à la polémique Manfredi justement. Mon impression se confirme, son roman ne me tente pas, et son attitude méprisante n'aide pas à l'indulgence face à sa prestation. J'en resterai comme toi à l'avis de Phili. J'ai été agréablement surprise par les propos d'Amélie Nothomb par contre, elle me semblait plus mesurée et cultivée que dans ses romans, en tout cas selon l'impression légère qu'ils me laissaient.
RépondreSupprimerJ'attendrai ta lecture du roman de Laurent Binet, il pourrait peut-être m'intéresser plus que prévu. (Sinon, pour le nom peu glamour, on s'y fait... Ou on prend un pseudo)
Moi Aussi, Amélie a vraiment été pour moi la surprise de cette émission : touchante et sincère. Je ne suis pas certaine de pouvoir le faire à chaque fois le compte rendu (car je ne suis pas quelqu'un de rigoureux), mais je vais essayer de m'y tenir parce que c'est drôle (bien que ce soit chronophage), Merci Mina, et oui pour le pseudo, c'est une évidence, mais tu sais que je me permets de dire ça, parce que j'ai moi même un nom de jeune fille très peu glamour.
SupprimerMerci de ce décryptage de la Grande Librairie, je la regarde parfois en replay, mais cette fois, ce ne sera pas utile ! Ou alors pour me faire une idée plus précise du Laurent Binet, qui m'effraye un peu, tant il a l'air de manier des concepts et de fréquenter des intellectuels que je ne connais pas (j'ai lu Mythologies de Barthes et tout compris, mais Deleuze, Derrida et consort ne constituaient pas un pré-requis pour enseigner la lecture au CP, aussi ne suis-je pas allée plus loin, peut-être est-ce un manque de la formation des enseignants, mais j'arrête la parenthèse).
RépondreSupprimerBref, disais-je, peut-être le Binet, mais certainement pas le roman d'Astrid Manfredi. Non de crainte de me faire lyncher si je n'aime pas, mais seulement parce que le thème ne me parle, enfin l'angle abordé. Je ne crois absolument pas, et il y a quantité de contre-exemples d'un côté comme de l'autre, que le fait d'être né dans certaines banlieues, même dans des familles cumulant les problèmes, explique qu'on en arrive à faire ce que son personnage a fait. Et aussi, comme toi : l'affaire dont elle s'est inspirée m'avait révulsée, et je n'ai aucune envie d'en lire plus à ce sujet.
Je te suis sur ta dernière remarque , faire des bourreaux des héros a quelque chose qui me dégoute, mais vu que je ne compte pas lire le livre, je m'abstiens de tout jugement.
SupprimerContrairement à toi, je n'ai jamais lu Barthes ni Derrida, donc autant dire que je prends un risque avec le Binet ;-)
On se tient donc au courant.
Je ne regarde pas la Grande Librairie ( tout simplement parce que je ne regarde pas la télé tout court) mais j'ai des échos de loin en loin de cette émission par des amis. Ton compte-rendu m'a beaucoup fait rire ! Ma maman m'a offert le livre de Laurent Binet samedi dernier. Il est sur ma table de nuit , comme une friandise qu'on ne voudrait pas entamer de peur d'être décue...
RépondreSupprimerMince je crois que c'est toi qui a été déçue non justement ?
Supprimer"Rhabillée pour l'hiver", comme dirait mon père. Voilà.
RépondreSupprimerIl n'y a pas que de la critique quand même non dans ce billet ?
SupprimerCe que je n'aime pas dans cette émission... C'est Busnel (ahhh ne me lynchez pas!) donc évidemment, c'est rude.
RépondreSupprimerCette émission, que je n'ai pas vu, m'intéressait pour Harrisson, et Manfredi, par curiosité. Je n'avais pas vu que les personnes pas très enthousiastes sur son roman.
Bref tu m'as refroidi sur ce roman, à cause de ce fan-club et des exclamations de Busnel.
En tout cas je me suis bien marrée. Merci ;)
C'était le but Valou, merci ;-)
SupprimerJ'adore Binet (quelle classe !), je veux lire son roman (même si je ne connais strictement rien à Barthes), et j'ai été consternée par la prestation de Manfredi... Bisous tout plein.
RépondreSupprimerEspérons que nous le lirons ensemble pour PM, et là on se ferait une LC sous hormones ....
SupprimerC'est vrai que c'est la première fois que je vois Amélie N si triste et si affligée en écoutant Astrid Manfredi .Superbe billet !
RépondreSupprimerComme Titine je ne regarde que rarement où quand j'ai un auteur chouchou François B me donne des boutons!
Décidément vous êtes quand même quelques unes à ne pas être fan du beau François...Oui Amélie avait l'air vraiment dépitée...
SupprimerJim Harrison n'a pas de mutuelle
RépondreSupprimerOui manifestement....Je fais partie des gens qui bloquent sur les dents...
SupprimerCa y est je l'ai vu
RépondreSupprimerIl ne manquait qu'un powerpoint à Manfredi
Elle dit de ces banalités... même sur l'écriture c'est fou.
Oui c'était proche de la caricature...c'est toi Attila ?
SupprimerJe ne regarde jamais LGL (et pourtant je regarde beaucoup la télé, je préfère ne pas en dire plus, tu risquerais de ne plus jamais me parler ;-)), je préfère de beaucoup découvrir les livres au hasard, ou grâce aux posts honnêtes de mes blogueuses et blogueurs favoris !
RépondreSupprimerTu te trompes Féli, je suis entourée de gros téléphages, donc je ne risque pas de ne plus te parler à cause de cela; mais pour le reste tu as entièrement raison.
SupprimerMoi qui suit (aussi) de l'autre côté du périph, j'ai eu bcp de mal à supporter cette série de clichés . Vraiment cheap. Je pense définitivement que Busnel ne choisit pas vraiment ses invités. Triste à voir . Il s'est fait plaisir avec la séquence Harrison, c'était palpable . Noté aussi qu' Amélie Nothomb avait l'air en toute petite forme ( je ne la lis plus mais je l'aime bien )
RépondreSupprimerEt sinon, il y a bien 68 premiers romans cette année ? Cool, 67 maintenant
Tu parles, tu peux dire 66 même, parce qu'il n'y a pas que des vrais premiers romans, il y a aussi des premiers romans commerciaux, avec des auteurs qui ont déjà publié, mais qui ont plus de chances de vendre en se faisant passer pour des premiers crus...bref
Supprimer(Storage Wars... je n'ai pas du tout éclaté de rire en lisant ça...mais alors pas du tout) (pardon Mr Galéa) :-P
RépondreSupprimerJe regarde de temps en temps LGL, en replay, s'il y a un auteur qui m'intéresse, parce que j'ai du mal avec Busnel qui aime bien s'écouter parler. Bon là évidemment je vais aller voir le passage de Manfredi par curiosité, même si son livre ne me dit absolument rien, pas mon style de littérature.
Et j'aime bien la personnalité d'Amélie Nothomb, même si je ne l'ai jamais lue ! Mais c'est peut-être pour bientôt, Pétronille étant dans ma wish-list depuis l'année dernière.
Tu sais je crois que Pétronille faisait partie de ses bons crus....
Supprimerps : " la littérature est une guerre contre les clichés" Martin Amis
RépondreSupprimeroui...c'est sûr que ça fait réfléchir....
SupprimerCet article est très drôle!
RépondreSupprimerJe ne regarde pas LGL, certainement parce que je n'ai pas la télévision et en plus je n'aime pas trop Busnel...Je préfère nettement Le Masque et la Plume parce que je peux broder en même temps!
De Binet, j'avais lu HHhH que j'avais bien aimé, mais sans plus...je dois dire que je ne suis pas trop attirée par son nouveau roman pour le moment...j'attends un peu de voir plus d'articles de blog sur lui avant de prendre une décision....
Ce que tu dis de Manfredi ne me donne pas du tout envie de le découvrir...
Le Masque arrive à beaucoup m'énerver aussi mine de rien....
SupprimerBinet me tente encore , j'espère qu'il sera à la hauteur...;
Pour moi qui ne regarde pas LGL (je découvre ce bel acronyme :)), Galéa, c'est parfait ! (et j'ai adoré ta digression sur l'émission qui soude le couple :))
RépondreSupprimerArf merci Sandrion, je dois dire que c'est devenu une blague entre nous depuis le temps;-)
SupprimerJe ne suis pas d'accord ! Amélie Nothomb n'est pas incontournable ! Yen a marre de la voir si en plus son roman n'est pas bon. Il ya d'autres auteurs à mettre en valeur.
RépondreSupprimerDe fait médiatiquement parlant elle l'est, c'est indubitable, pas une seule émission littéraire ou radio ou magazine n'est passée outre, quitte à pour en dire du mal. J'aime beaucoup son personnage, mais je sais que sa production est inégale.
SupprimerJe n'ai plus de télé donc je ne regarde pas LGL, même en replay : il m'agace trop Busnel... En ce qui concerne Nothomb, certes, elle est incontournable mais elle n'a plus besoin de la télé. Pourquoi il n'a pas invité quelqu'un qui a besoin de visibilité ? Pour Binet, je suis en train de le finir et c'est très bon. Et pas besoin d'avoir lu Barthes, Derrida et les autres : on comprend tout, c'est hyper drôle et pédagogique. Harrison a été une de mes idoles américaines à l'époque de Dalva, un des meilleurs romans américains que j'ai jamais lus (je n'arrête pas de me dire que je devrais le relire mais je ne trouve jamais le temps), le type me plait toujours beaucoup, mais ses bouquins je ne peux plus, je trouve qu'il tourne un peu en rond. Quant à Manfredi, rien à dire, je crois que je préfère n'avoir rien vu. Son livre ne me tentait pas de toute façon. Mais j'aime que tu parles de Modiano :-) Moi qui suis assez vieille pour avoir vu sa première prestation à la télé, je l'avais trouvé super émouvant, il me faisait de la peine (moi aussi je suis timide et j'aurais du mal à parler à la télé).
RépondreSupprimerEn résumé ton billet est super bon, comme toujours, et tu me fais plus de bien que la télé !
Rho mais Papillon, tu me flattes carrément, et tu me touches aussi. Tu sais que Binet est toujours sur ma liste, j'espère l'obtenir par PM sinon je le mettrai sur ma liste de Noël. Modiano est un mauvais orateur, mais il a cette modestie et cette humilité qui pour moi rattrapent tout le reste,e t surtout, c'est un immense auteur. Quelle chance tu as d'être assez vieille pour avoir vu sa première prestation....
SupprimerMerci de tes gentils compliments ;-)
Bon, je me dois de répondre puisqu'on me parle! (j'suis flattée) mais, ma belle, je n'ai pas la télé! Pourtant j'aime bien le François, (et aussi Amélie N que je trouve classe et sympathique). Mais figure toi que j'ai lu récemment un de ces gros bouquins passionnants (à mes yeux) qui parle d'écologie, d'ethnographie, de civilisation, etc. et il y avait un chapitre sur le Montana. J'ai découvert avec horreur que l'industrie minière a laissé des traces, plus incendies de forêts, plus problème avec l'eau, bref, ma bonne dame, si on ne peut plus rêver sur le montana, ses cow boys, ses paysages et ses ours, où va-t-on?
RépondreSupprimerBises à ton petit monde, Monsieur, les deux grandes, et la future petite.
C'est plutôt bon signe Keisha de ne pas avoir la télé, oui visiblement le Montana n'est pas exactement fidèle à l'image qu'on s'en fait ici (et ceux qui l'habitent non plus)...Des bises aussi.
SupprimerMoi aussi j'attendais de pied ferme l'émission car souvent l'émission me plait ; j'aime bien voir Mr B et les auteurs. Mais alors là hier, je me suis ennuyée comme un rat mort ! Hormis Amélie Nothomb, je n'ai jamais rien lu des trois autres auteurs et je n'ai pas plus envie de les lire. Ils ne m'ont pas intéressée du tout. Busnel était en forme tendance "je casse l'écrivain".
RépondreSupprimerAmélie avait effectivement l'air d'être triste ou éteinte.
Bref, déçue par hier.
Pas grave, j'attendais jeudi prochain pour voir qui sera là et je reviendrai donner mon avis.
Bon c'était l'émission de lancement, mais j'ai trouvé quand même le portrait d'Harisson assez enthousiaste, et Binet m'a enchantée...Par contre, oui, c'est vrai, Busnel a été moyen avec Nothomb et Binet...
SupprimerJ'aime pô François. Son ton, son côté beau gosse, ça m'insupporte. Je ne regarde qu’exceptionnellement, quand un de mes auteurs chouchous est invité, et c'est toujours en replay.
RépondreSupprimerJe te comprends Saxaoul....même si moi je ne peux pas m'en empêcher.
SupprimerJe ne regarde jamais LGL mais grâce à toi, j'en ai presque l'impression presque tous les jeudis. Je crois que Voilà est en effet le mot que tout le monde retient de cette émission.
RépondreSupprimerOui, il faut le savoir, chers auteurs, FB ne vous rend pas toujours service.
Oui c'est une évidence, et il faudrait qu'ils arrêtent de se fourvoyer sur les blogueurs : chers auteurs nous ne sommes pas tous là pour faire votre promotion...
SupprimerBon bref hein
MDR comme disent mes enfants ! Ton article est extra !
RépondreSupprimerJe ne regarde pas très souvent l'émission, mais là je voulais voir Binet... Et puis on n'a pas l'occasion tous les jours de voir un personnage de roman à la télé ;-)
AH oui c'est vrai que tu l'as vraiment adoré toi le Binet ;-)
SupprimerPas l'habitude de regarder la télé et je loupe 9,5/10 l'émission du beau Busnuel.
RépondreSupprimerNothomb rime avec tombe
Harrison, je lirai son dernier bouquin, trop tentée et comme toi, je m'en tiendrai à l'avis éclairé de notre Phil.
Monsieur Sous Les Galets (ça le fait une telle particule !!) a bien noté tes désirs livresques ? car il faudra te reposer pour nous faire une belle petite fille !
Je ne suis pas sûre chère Zazy que l'Homme prenne en compte tous mes désirs livresques ;-)
SupprimerJe ne suis pas fan du tout de François, alors je regarde seulement lorsque je veux absolument voir un auteur ; ce n'était pas le cas jeudi, mais avec ton billet je vais l'enregistrer demain soir en rediffusion, il faut que je vois ça. Amélie tristounette, ça me chagrine, je ne la lis pas souvent, mais je lui trouve un capital sympathie élevé. Quant à la petite nouvelle, elle a réussi l'exploit de casser son image en un temps record ... après ce que j'ai eu le temps d'apercevoir sur FB, toute envie de la lire m'a quittée ... (jeudi prochain c'est du lourd : Angot, Liberati ... Eric Faye et le 4e je ne sais plus. L'homme va souffrir !)
RépondreSupprimerAlors là Aifelle, on est raccord de chez raccord, je ne lis pas beaucoup Nothomb mais j'aime vraiment bien le personnage (oui il avait terriblement souffert la semaine suivante)
SupprimerIl n'y a que du lourd la semaine prochaine, je parie que tu y seras...
Moi non plus je ne regarde presque jamais la télé alors je rate presque tout le temps la Grande Librairie mais ton billet je l'adore!
RépondreSupprimerMerci Enna, moi non plus, c'est ma seule émission à moi (et un moyen de garder le contrôle de la télécommande...nan je rigole)
Supprimer"Amélie c'est comme la liste des fournitures scolaires" - ben voilà, je suis à la ramasse pour TOUS les préparatifs de la rentrée !
RépondreSupprimerPlus sérieusement : Laurent Binet, ce nom me disait quelque chose, et mon ami Google a pallié ma mémoire défaillante : c'est lui qui a écrit l'excellent (je pèse mes mots et lynche qui contredit puisque c'est tendance) "HHhH" (livre que je recommande vivement et avec enthousiasme). Du coup je note le titre de son nouveau livre, qui me plait beaucoup, et je prétendrai que le langage est au programme de cette année pour prendre le temps de le lire.
Tu sais que je n'avais jamais entendu parler du HHhH, mais je vais corriger ça Aliénor...nous lirons peut-être le langage en même temps du coup...
SupprimerJe ne regarde pas du tout LGL car je n'aime pas beaucoup le choix des auteurs en général ni la façon dont les interviews sont conduites (en clair je trouve qu'il n'y a pas de "petit plus" intéressant dans cette émission littéraire, hélas) mais par contre, ton rapport est des plus amusants ! Vivement le prochain LGL alors !:-)
RépondreSupprimerCe n'est pas complètement faux ce que tu dis, les émissions réussies sont en général grâce à des auteurs qui d'une certaine manière prennent en main l'émission....
SupprimerCa fait très longtemps que je n'ai pas regardé cette émission mais Busnuel que j'aimais beaucoup il y a quelques années m'agace souvent aujourd'hui. J'ai adoré ton billet (je ne suis guère originale j'ai l'impression de dire ça à chaque fois que je commente), je le trouve juste et sincère ! Continue longtemps à nous étonner, nous faire rire !
RépondreSupprimerTu es vraiment adorable avec moi Krol (mais attention tu flattes mon mauvais coté)
SupprimerDes bises
Merci pour ce billet car (ne me lynche pas please), je me suis endormie au passage de Binet !!! Voui. Je somnolais, impossible de lutter ! Mais j'avais noté l'absence de chapeau d'Amélie que j'aime beaucoup même si ses livres me tombent des mains ! Et sa tristesse à la fin était flagrante ! Voilà voilà, tout était dans ce voilà, entre autres consternations concernant la prestation archi-cliché de Miss Manfredi. Je n'avais déjà pas envie de la lire car l'affaire Halimi m'avait beaucoup émue, alors que l'on se serve de cette histoire (même bien) me donne des boutons. Quant au Binet j'attendrai ton billet ! ;) Une fois que l'Homme aura eu sa récompense, peut-être te l'offrira-t-il !!! :D
RépondreSupprimerJe ne te lynche pas car je suis tolérance et que tu as des circonstances atténuantes. Je te dirai pour le Binet car d'une manière ou d'une autre je finirai par le lire.
SupprimerDe grosses bises Aspho
P.S. : et tu m'as beaucoup fait rire, des compte-rendus comme ça, j'en redemande !!! ;)
RépondreSupprimerOh tu sais dès qu'il s'agit de faire l'imbécile, je réponds présente ;-)
SupprimerJe suis aussi restée sur ma faim avec cette émission. Busnel me semble imbu parfois mais il est intéressant et c'est un p***** de bon journaliste. Quant à Astrid Manfredi, je ne l'ai pas du tout appréciée. Son manque d'humilité m'a dérangée au plus haut point!!! Pareil, je sors les armes quand on se moque de "ton" Patrick! J'ai adoré cet article. Tu es toujours originale. Bon week-end!
RépondreSupprimeroui Mlle A, c'est le mal du siècle mine de rien, l'absence d'humilité ;-)
SupprimerMerci beaucoup
"Oh ça va je rigole. Amélie c'est comme la liste des fournitures scolaires, ça fait partie du package de la rentrée : incontournable."
RépondreSupprimerHéhé j'adore! Si je devais retenir un livre de ce billet ce serait le Jim Harrison, parce que Jim Harrison quoi :)
J'ose dire que je ne l'ai jamais lu (car je suis nulle en littérature américaine)
SupprimerTien, on a le même homme à la maison (sauf qu'au lieu de 10 livres de cuisines, c'est 10 BD ici !). J'aime bien cette émission littéraire et je trouve Busnel assez bon dans ses interviews. Bon, c'est vrai que Astrid Manfredi avec sa respiration d'asthmatique (ou de fumeuse ?) et ses tics verbaux n'était pas top, mais tous les auteurs ne peuvent pas avoir la carrure d'une Amélie Nothomb !
RépondreSupprimerTout à fait et franchement, c'est dommage quand la posture d'un auteur fait du tort à son livre....
SupprimerBusnel en fan de téléphone, j'aurais pas cru !
RépondreSupprimerEt je suis née du mauvais coté du périph (mais de l'autre coté, il y avait des champs) alors il faut que je fasse attention, je pourrais tuer quelqu'un...
Et tu as déjà vu un diamant brut ? Parce que pour voir à travers, il va falloir se lever tôt ;)
A mon avis, il n'est pas fan, il a juste chercher un moyen de tâcler Binet...Non je me balade rarement avec des diamants bruts (et des diamants tout courts)
SupprimerÇa me va très bien ton résumé car je ne regarde que très rarement "la grande librairie", par manque de temps. Mes soirées sont courtes et précieuses, je dois faire des choix.
RépondreSupprimerPour ce qui est des auteurs qui ne supportent pas les critiques négatives de leurs livres, j'ai tendance aussi à boycotter leurs oeuvres.
Tu sais que je m'aperçois que c'est quelque chose de très répandu mine de rien, à un commerçant qui fait une faute d'orthographe que l'on corrige on se prend une volée de bois vert, on est dans un monde où plus personne ne supporte la moindre critique.
SupprimerC'et dingue, sur les 500 et quelques livres de la rentrée, on n'entend parler et l'on n'en voit sur les étals de librairie, allez quoi un vingtaine, c'est à peine croyable ! Le magazine littéraire, la grande librairie manquent vraiment d'imagination....où de d'esprit critique.
RépondreSupprimerBravo pour ton billet.
ce n'est pas faux mais c'est sûrement parce que ce sont les tête d'affiche qui intéressent les téléspectateurs....
SupprimerMerci, ma biche ! Tu sais, je suis comme Valérie, je ne regarde pas LGL (seize ans sans télé m'ont éduquée à m'en priver. Nous avons acheté un poste de télévision, il y a trois ans, pour ne déconnecter nos pépettes de leur génération et ce cadeau d'anniversaire (qui était en fait le mien) est celui que j'utilise le moins (ironie du sort). J'aime beaucoup la personnalité d'Amélie Nothomb (drôle, dotée d'autodérision, quelqu'un de sincère et de sensible, qui a une jolie plume mais ne cherche pas à approfondir ses écrits) et le dernier Binet est un des deux livres qui me tentent le plus (avec celui de Toni Morrison). Je suis d'ailleurs ravie de son prix FNAC 2015 (c'était mon chouchou). Quant à Jim, Péchés capitaux reste un des rares livres que je n'ai pas finis. Quant à Astrid Manfredi, j'ai appris la polémique FBienne grâce au com de Valérie. J'ai décidé de ne pas insister, cela ne m'intéresse pas et surtout tu repliques mieux que moi !!! Je t'embrasse et te félicite pour ton post (c'est toujours un plaisir de te lire : tu devrais résumer LGL toutes les semaines) ). Caresses à Bidon et un grand bravo à l'Homme qui a tenu jusqu'au bout de l'émission.
RépondreSupprimerC'est à dire ma Phili qu'elle avait écrit un post qui te visais explicitement, puisqu'il faisait référence à son absence d'utilisation de l'imparfait du subjonctif que tu pointais dans ton billet. Je sais qu'au fond tout cela n'est pas très important tu sais, mais bon, quand ça touche les copines, on sort les dents...;-) et je trouvais ton billet argumenté et respectueux .
SupprimerJe te fais plein de bises ma Phili
Ps : j'ai lu attentivement ton post mais pas le titre !!! Donc je suis ravie de découvrir le premier de la série. Sinon, il est possible que tu reçoives mon premier com en deux exemplaires en raison d'une mauvaise manip sur smartphone (tu as ma bénédiction pour en supprimer une). Bises aux deux aînées aussi.
RépondreSupprimerAucun problème ma belle
SupprimerVoilà : j'ai adoré ta chronique !
RépondreSupprimerMerci beaucoup Moka
SupprimerJe ne regarde jamais cette émission car mon homme à moi préfère un bon film pour se détendre de sa journée et n'est pas décidé à faire de concession sur ce point; en revanche, je serais d'accord pour que tu fasses un compte-rendu à chaque fois car je suis faaaaaan ! J'ai eu l'impression d'y être tout en me disant que je préférais vraiment te lire que de regarder la télé ! Merci !!!
RépondreSupprimerNe me flattes pas autant Sido, j'ai déjà une vraie tendance à la grosse tête....
SupprimerJe ne regarde pas souvent l'émission mais je l'ai fait en espérant changer mon opinion sur Manfredi après ce que j'ai vu sur FB. Heu... raté. Elle m'a profondément déplu. Je SAIS qu'il faut séparer oeuvre et auteur mais je pense que je vais attendre un peu. Parce que si je lis maintenant, je vais avoir envie de ne pas aimer. Il faut pas chercher à comprendre! Merci pour le résumé! Ca m'a évité d'écouter le début!
RépondreSupprimerA mon avis c'est tout le problème Karine, les auteurs issus de la blogo font de leur personne un outil de vente et matraquent FB de leur promotion...personnellement, je ne crois pas à l'écrivain blogueur...
SupprimerJe regarde toujours, mais avec plus ou moins d'attention en fonction des invités ... Ton décryptage est nettement plus rigolo que l'émission !
RépondreSupprimerTu sais que ça me fait plaisir de lire ça, même si ça flatte mes plus mauvais instincts.
SupprimerMerci Mrs Figg
Bon pour moi, seule l'interview d'Amélie Nothomb m'a enthousiasmée...j'ai bien aimé le numéro de Busnel et les réponses de la grande Amélie !!
RépondreSupprimerLe reste bof et la poissonnière avec ses voilà...c'est sûr qu'elle donne pas envie de la lire mais c'est pas facile comme exercice, il faut le reconnaître.
Binet...ouais , c'est pas ce que je recherche en littérature mais j'imagine que son physique séduit la blogueuse littéraire... :D
Vivement la semaine prochaine alors...
Quoi ? tu sous-entends que le livre de Binet m'attire parce qu'il est beau gosse ? Figure-toi MTG que ce n'est pas du tout mon genre, beaucoup trop propre sur lui pour moi, j'aime les hommes un peu plus caverneux. Je ne l'aurais pas avec PM, donc je le mets sur ma liste de Noël...et rien à voir avec son physique...
SupprimerRendez-vous ce soir vilain garçon ;-)