Lola Lafon, La Petite communiste qui ne souriait jamais Actes Sud, 2014, 315 p. |
Parce qu'il m'a été offert par une toute jeune blogueuse pour qui c'est le coup de coeur, parce qu'il a enthousiasmé plus d'un lecteur, et que Fleur en a fait une pépite...bref, j'aurais aimé être au rendez-vous.
Et puis non, je suis passée à côté.
Pourtant les sportifs me font rêver, les enfants géniaux aussi, j'adore la gymnastique (que j'ai pratiquée), mon cousin (celui qui prend à la belote sans le 34) a épousé une Roumaine de Bucarest. Le pire c'est qu'elle écrit bien Lola Lafon...alors je ne sais pas ce qui s'est passé.
Est-ce que c'est parce que Nadia Comaneci avait déjà passé son heure de gloire la première fois que je me suis brulée la cuisse sur une poutre, ou raté mon piston sur les barres? Ce ne peut pas être la seule raison. En plus, ça démarrait bien pour moi, j'ai adoré la première scène, celle du 1,00, qui est absolument géniale. "La gamine a défait l'ordinateur" (p.16).
Peut-être que c'est le postulat de départ qui m'a gênée: la fascination totale pour une championne, une toute petite fille volontaire et dure comme l'acier. Peut-être que ça me gêne qu'on qu'on décortique son corps, ses cernes, l'angle de ses cuisses, sa puberté... ça m'a fait presque mal qu'on l'observe à ce point.
Peut-être aussi que faire parler fictivement quelqu'un qui vit encore, ça me dérange. Qu'une Nadia de fiction vienne donner son point de vue, ça me heurte quand la Nadia réelle vit encore.
A moins que ce soit le titre. Parce que dire qu'elle ne souriait jamais, JAMAIS, ça me fiche le moral en l'air. Un enfant normal qui se concentre ne sourit pas, alors un génie de l'équilibre, on imagine bien que c'est encore pire. Ca me blesse plus que je ne le pensais au départ, et plus les jours passent, plus je retins cela: ce titre qui nie la part d'enfance de Nadia.
J'ai bien compris que Lola Lafon en fait un emblème communiste et nous parle aussi d'une gymnaste dans un moment particulier de la vie de son pays, une sorte d'instrument politique (presque plus contre l'URSS que contre l'Occident d'ailleurs). Et tout ça je l'ai apprécié. Et puis, j'ai aimé le personnage de l'entraîneur, j'ai aimé découvrir comment on apprend à des enfants à ne pas avoir peur, à ne pas penser à la chute.
J'ai aimé le passage ou Nadia répond (pour de faux) à Lola Lafon qu'elle a préféré une enfance dure mais exceptionnelle à une vie banale. Mais que sait-on de ce qu'a voulu une gamine de 8 ans dans un régime totalitaire?
Le mélange des genres me retourne moi: enfance, politique, représentation du corps, culte de la performance, totalitarisme....parce que je suis psychorigide, j'ai du mal à tout prendre. Tout comme je suis passée à côté des réflexions fictives de Nadia sur le régime de Caeaucescu vs/ libéralisme de l'Ouest. Oui c'est vrai que l'économie de marché à ses diktats, c'est vrai que le monde c'est un peu plus compliqué que les gentils d'un côté et les méchants de l'autre...mais quand même. Disons que je souscris à tout ce qu'elle dit sur la surconsommation, à la manipulation des marques, oui, trois fois oui....mais ça m'ennuie qu'elle prenne Ceausescu en contrepoids. Les Roumains que je connais baissent encore la voix quand on l'évoque, alors je peine.
Comme je peine sur la seconde moitié du livre, avec l'adolescence et la vie d'adulte de Nadia, ce que Lola Lafon sous-entend des choix de la gymnaste, de ses fréquentations ou de la crudité de certaines de ses expériences.
Je ne sais pas, un vague malaise. J'ai le sentiment qu'on a volé quelque chose à quelqu'un à qui on a déjà beaucoup pris.
Et pour le coup, je ne m'en prends qu'à moi, car je crois qu'il a été très bien accueilli ce roman, sans doute que les raisons qui m'empêchent de l'aimer ne sont pas d'ordre littéraire, et sans doute ne l'ai-je pas lu au bon moment non plus.
Mea culpa Pauma donc ....;-)
Eh bien j'hesitais à le lire... Je crois que je vais m'en passer... A part ça, je t'espère en forme ma belle Galea ;)
RépondreSupprimerJe ne sais pas ma Comète si tu dois passer ton tour, je suis quand même une exception, c'est un livre qui a été très bien accueilli...
Supprimerdes bises et bel été ma belle (profite de tes hommes)
Je me situe aux antipodes de ta lecture, mais je comprends tes arguments, sans partager ta déception. J'avais peur justement de bloquer sur un personnage que l'on sait encore en vie, mais je m'y suis adaptée très vite, et je trouve qu'elle a gardé sa part de mystère à Nadia. Pour moi, ça a frôlé le coup de cœur et j'ai encore plus aimé après avoir assisté à une lecture musicale par l'auteure elle-même. Et elle ne fait que décrypter avec talent la façon dont Nadia a été scrutée toute sa carrière, en lui redonnant un certain respect je trouve. Mais je sens qu'on ne se mettra pas d'accord sur ce coup là ;-)
RépondreSupprimerAifelle, je sais que tu l'as aimé et tu n'es pas la seule, je ne m'explique pas mon manque d'enthousiasme, il y a quelque chose qui m'a complètement bloquée. Ca reste très mystérieux pour moi mais je comprends complètement qu'on le trouve formidable. Le problème vient de moi sur ce coup ;-)
SupprimerBelle journée à toi
Je vais le lire cet été en version audio. Comme je pars en rando sur plusieurs jours avec le sac sur le dos, je préfère prendre mon lecteur MP3 qui est moins lourd qu'un ou plusieurs livres !
RépondreSupprimerJe pense que tu l'as lu du coup, vu que tu reviens de rando....(et que je réponds à mes commentaires très en retard)
SupprimerEt non, toujours pas terminé. Je traîne, je traîne... et ce n'est pas bon signe !
SupprimerMoi ça me donne envie tout de même ! En raison de la description de la vie communiste à cette période. Toujours pour essayer de réaliser ce que c'était.
RépondreSupprimerA voir donc ...
Honnêtement Clémence, je crois être l'exception, je pense que les raisons de mon blocage ne sont pas du tout littéraires, c'est perso sur ce coup. je pense que tu l'apprécieras
Supprimerdes bises
J'ai aimé plus que toi mais moins que d'autres. Et je comprends ton impression qu l'auteure a dérobé quelque chose à son personnage car je le ressens souvent dans ses pseudo fictions.
RépondreSupprimeroh oui, vraiment, j'ai eu ce sentiment, que cette gamine était une fois de plus scrutée de façon malsaine , on en fait une vérité après...bon bref, j'ai bloqué, mais tu le savais déjà Valérie
Supprimerje n'en suis qu'à la moitié de ma lecture audio mais j'aime beaucoup justement ce mélange de fiction et de réalité. j'aime aussi tout ce qui est dit sur le régime en Roumanie et le système. Je comprends ton billet mais je me laisse vraiment prendre par l'histoire de cette femme/petite fille. Il y a un entretien à la fin de la version audio, j'aurai donc peut-être quelques éclaircissements sur la manière dont elle a crée son "personnage"
RépondreSupprimerJe comprends très bien Enna.
SupprimerJe ne pense pas avoir envie de lire ce livre. J'avais vu un film sur Nadia il y a un paquet d'années. C'était à la fois beau de voir cette montée fulgurante, et désolant de constater la chute brutale.Une étoile filante... ça me pose beaucoup de problèmes lorsque je vois de jeunes sportifs à l'action.
RépondreSupprimerOUi, il y a ce côté extraordinaire de ces gamins géniaux, qui met mal à l'aise sous le regard des adultes.
SupprimerBelle journée Alphonsine
"Un livre à deux auteurs, celui qui l'écrit et celui qui le lit", disons que ta sensibilité, ton vécu et ton caractère t'ont empêché d'apprécier un roman que d'autres ont aimé ... au final on se fiche de savoir si le roman est bon ou pas (et puis bon pour qui, selon quoi ??), ce qui est intéressant justement est de savoir comment tu as vécu ce roman !! ... En tout cas moi tout ce qui tu déplores dans ce livre, ça me parle ... alors pas sur que je le lise (...déjà qu'il ne me tentait pas ;0)).
RépondreSupprimerOui, je crois vraiment que pour le coup, j'ai eu un truc perso qui a coincé, c'est tellement cruel ce regard d'adulte sur les enfants hors norme...ça me met très mal à l'aise...
SupprimerBonjour Galea, ce qui me fait hésiter à lire ce livre c'est une biographie romancée d'une personne vivante. Est-ce que Nadia Comaneci a eu son mot à dire, je l'ignore. J'ai d'autres lectures en cours. Bon dimanche.
RépondreSupprimerNon, je ne crois pas Dasola, en plus il semble qu'elle se soit un peu inspirée de l'ouvrage autobiographique qu'avait écrit Comaneci mais sans y faire référence...
SupprimerC'est vraiment étonnant de voir à quel point tu étais faite pour ce roman mais que ça ne l'a pas fait. Ne crois-tu pas que ça puisse aussi être le style de l'écrivaine, qui ne te convenait pas ?
RépondreSupprimerJe me suis complètement sentie concernée car j'ai aussi fait de la gym et je vivais très mal le fait d'avoir un corps différent : toutes les gymnastes étaient petites et menues alors que moi j'étais déjà entrée dans la puberté et j'étais grande.
Je crois que c'est le parti pris de départ Fleur qui m'a dérangée, mais c'est vrai que par contre qu'est ce qu'elle sait bien retranscrire l'ambiance d'un gymnase et le contact avec les agrès (bon, moi non plus, je ne risquais pas de faire une grande carrière de gymnaste).
SupprimerMerci de ton indulgence car je sais que tu l'as adoré et que tu en as fait une pépite ;-)
Je crois que le but de l'auteure n'étant pas d'écrire une biographie, ces souplesses prises avec le réel ne m'ont pas gênée, et le mélange des genres m'a paru être une acrobatie plutôt réussie, risquée, soit, de même que cette gêne que l'on peut ressentir devant ce corps scruté, surexposé. L'auteure dans la conférence à laquelle j'ai assisté, disait avoir voulu rendre surtout compte d'une sorte de regard pervers sur ce corps, justement. J'avoue que l'aspect sportif m'a moins passionné, comme toi l'aspect politique, juste, mais un peu simpliste quand même. On sent qu'il est là pour servir un propos, un peu bancal ...
RépondreSupprimerOui mais moi Athalie, c'est son regard à elle sur la gamine que j'ai trouvé malsain, cette fascination assumée et mêlée d'un peu de perversité. Moi j'ai adoré l'aspect sportif, je trouve qu'elle parle très bien du sport et de la performance, mais c'est vrai que l'aspect politique manque je trouve de finesse (bon l'un dans l'autre c'est un roman, pas un doc).
SupprimerMalsain, je n'irai pas jusque là, mais il est vrai que l'on sent que l'auteure se sert de l'histoire de l'histoire de Nadia pour en faire son crédo à elle. Pour la performance sportive, j'avoue qu'ayant juste lu peu de romans sur le sujet, je ne suis pas bonne juge. Il y a juste "Courir" de Echenoz que je te conseille, juste génial ( et puis, lui, il est mort ^-^)
SupprimerJe comprends tes réticences car moi aussi j étais genee par les interventions de la Nadia de fiction...et puis j ai outrepassé ces réticences et j ai adoré ce travail sur le corps, la féminité, l'image de l enfant star...
RépondreSupprimerOui c'est ce qui aurait du se produire chez moi aussi, mais je trouve qu'elle a sali l'enfant que Comaneci a été, en nous parlant aussi crument de ses premières règles par exemple. En fiction, ça aurait été parfait, mais en parlant de quelqu'un qui a existé et qui existe encore, vraiment, ça me heurte.
Supprimerça faisait partie des romans que j'avais envie de découvrir..et puis, je crois que cette semaine j'ai eu ma dose de fille-ado qui ne sourie jamais (et qui ne fait même pas de gymnastique sous le régime communiste en plus !)..je passe mon tour LOL
RépondreSupprimerOui je comprends ;-)
Supprimerbon, j'ai cliqué trop vite ! c'est pas "sourie" mais "sourit"...
RépondreSupprimeret en plus je me suis inscrite en "anonyme" !
Virginie
Tu me fais délirer Virginie
SupprimerUn roman qui ne m'a jamais attiré. Ce n'est pas toi qui va me faire changer d'avis !
RépondreSupprimerNon c'est sûr mais les autres blogueurs oui Jérôme...
SupprimerIl y a des sentiments dans ce livre là? Je n'en ai pas l'impression...
RépondreSupprimerEffectivement, c'est peut-être ce manque d'amour et de tendresse qui m'a déçue.
SupprimerBien vu MTG
Mon avis est complètement différent du tien. Je trouve que Lola Lafon a su préserver une part de mystère autour de son héroïne.
RépondreSupprimerJe n'ai pas eu ce sentiment Clara.
SupprimerEt bien voilà, je penses EXACTEMENT comme toi ! Et comme d'habitude tu le dis très bien ! Je suis jalouse de ton billet, tiens ! ;)
RépondreSupprimerRho y'a pas de quoi Krol quand même
SupprimerMais qu'est-ce que ce -s vient faire au bout de pense ???? Une anomalie qui me chagrine...
RépondreSupprimerTu sais que ce n'est pas moi que ça choque hein?!
SupprimerAttirée et pas attirée ;-) j'ai peur d'être déçue par cette lecture donc je ne sais pas encore si je vais me diriger vers elle ou pas...
RépondreSupprimerLa petite communiste a globalement été bien accueillie, donc tu as plus de chance d'aimer que d'être déçue je pense.
SupprimerLe contexte historique me tentait beaucoup mais comme toi, je suis un peu gênée par les biographies fictives (ou adaptées) de personnes toujours vivantes ...
RépondreSupprimerSi tu es intéressée par les fictions ayant pour toile de fond la Roumanie, je te conseille "Un brillant avenir" de Catherine Cusset que j'avais apprécié (cela dit, peut-être connais-tu déjà ce titre !)
Bien sûr, Un brillant avenir est selon moi, l'un des romans de Cusset les plus aboutis....
SupprimerJe l'ai beaucoup aimé
"J'ai le sentiment qu'on a volé quelque chose à quelqu'un à qui on a déjà beaucoup pris." C'est aussi mon sentiment et c'est pour cela que je n'avais aucune envie de lire ce livre. J'ai vu/lu des films, documentaires, interviews sur/de Nadia, et ce sont certainement ces mêmes documents qu'a utilisés l'auteure. Et si c'est pour inventer ce que Nadia n'a jamais voulu dire, ça ne m'intéresse pas. Tiens, ce soir, elle est passée à la télé.
RépondreSupprimerOui Jackie, vu qu'elle vit chez toi, tu dois la voir de temps à autres à la tv. Disons que quand j'ai découvert que Comaneci avait publié une autobio et que Lafon ne la cite pas une seule fois, ça m'a gênée quand même...parce que j'imagine qu'elle a du s'en inspirer , ou pas.
SupprimerJ'ai très envie de le lire, c'est toute ma jeunesse, j'étais fan de cette Nadia 'jalouse aussi), j'étais trop naïve et ignorante pour savoir qu'il y avait autant de travail et de souffrance derrière. Une anecdote, avec ma sœur nous avons voulu faire comme elle, je lui ai cassé l clavicule, dans une de mes roulades désordonnées, nous ne sommes pas prêtes d'oublier Nadia Comaneci
RépondreSupprimerTu sais que ça ne m'étonne pas de toi Louise, et que ça me fait beaucoup rire ;-)
Supprimerje te serre la main :-) J'ai bien aimé le contexte historique mais l'histoire de la sportive bof bof... et puis la manière dont le bouquin est écrit m'a aussi dérangée...
RépondreSupprimerJe dois dire que Violette que je trouve que Lafon a vraiment un style percutant, mais je comprends qu'il dérange aussi...
SupprimerJe crois que ça me gênerait aussi un peu de lire la biographie d'une personne qui vit encore.
RépondreSupprimerTiens, une petite citation de Cioran pour la route : « Il est incroyable que la perspective d’avoir un biographe n’ait jamais fait renoncer personne à avoir une vie »
:)
Mais tu sais ZAP finalement ce n'est pas vraiment une biographie, c'est vraiment un roman (bon le problème c'est que c'est sur quelqu'un qui existe; mais je crois que c'est aussi la raison de son succès)/
SupprimerJe vais l'écouter très bientôt... J'espère être plus enthousiaste que toi !
RépondreSupprimerIl y a de bonnes chances que ce soit le cas tu sais...
SupprimerPremier billet peu enthousiaste que je lis sur ce livre, heureusement que tu es là Galéa ;-)
RépondreSupprimerEt je vais t'avouer un truc : on a un point en commun, je suis également une ancienne gymnaste (mais j'ai bien changé depuis...).
Bon we !
Oui alors moi aussi Margotte, (surtout que je me suis mise à grandir d'un coup après avoir arrêtée la gym)
SupprimerBelle journée à toi ma belle
Je n'ai pas bien compris pourquoi tu n'as pas aimé mais ce n'est pas grave, je n'avais pas l'intention de le lire.
RépondreSupprimerAh bah zut, c'est que j'ai bien raté mon billet alors! car je pensais l'avoir expliqué, je n'ai pas du être assez claire...
SupprimerJ'ai lu beaucoup de bien sur ce titre forcément, mais aucun ne m'a fait sauté le pas. L'histoire ne me tentait pas trop et ta note confirme cette impression ;-)
RépondreSupprimerAprès tu sais Céline, je suis très minoritaire quand même
SupprimerJe viens de lire un autre avis qui confirme ton impression, alors tu vois ! Le sujet pourrait peut-être me plaire, mais j'ai vraiment peur d'être gênée par le mélange fiction/autobiographie.
SupprimerFinalement, tu n'as pas tout détesté dans ce livre.
RépondreSupprimerHeuuu, entre Loo qui ne comprend pas pourquoi je ne l'ai pas aimé et toi qui me dis que je ne l'ai pas détesté, je vous jure, je me pose des questions sur la clarté de mes billets.
Supprimertombée "chez vous" par hasard, merci pour votre billet, mais je cite, bien entendu, dans mes sources, la biographie de Nadia Comaneci, avec les passages exacts :-)
RépondreSupprimermerci!
Bonsoir, oui bien sur j'ai vu la référence dans la bibio, je me suis mal exprimée, ce que je voulais dire c'est que dans le corps de texte vous n'y faites pas référence , vous n'évoquez pas le fait que NC a souhaite s'exprimer et a écrit une auto bio. Mais je m'aperçois en écrivant que c'est un réflexe du a ma formation, avec le culte de la note de bas de pages et de la sacrosainte source. Peut-être que ça n'a pas lieu d'être en littérature, et peut être est-ce le fait d'être a la frontière entre réel et fiction qui m'a déstabilisée .
RépondreSupprimerJe suis flattée de votre passage, même par hasard, et c'est moi qui vous remercie de votre fairplay (comme dirait ADH).
Bonne continuation a vous ;-)
Merci pour vos commentaires. Voici les miens: http://la-petite-communiste.blogspot.com
RépondreSupprimerok merci
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