Alors, alors, mais qu'en est-il des livres préférés de mes blogueurs préférés en ce lendemain de Toussaint? Contrairement à l'an dernier où les poids lourds de la rentrée n'avaient pas spécialement enthousiasmé la Toile, cette fois-ci, il s'agit des pépites attendues et controversées, qui n'ont pas fini de nous faire débattre plus ou moins vertement derrière nos écrans (ouh là, la clique on se calme).
Elles étaient un certain nombre à l'attendre comme le Messie, j'ai nommé Sorj Chalandon et son Profession du père chez Grasset, encensé dès sa sortie par son fan club de blogueuses (sobrement désignées sur la Toile par "gang des sorjettes"). Inutile de rappeler que dans cet opus, Chalandon nous parle de l'histoire d'un petit garçon et de son père globalement instable et sans doute violent, inutile également de rappeler que Chalandon a lui-même reconnu l'origine largement autobiographique de ce roman.
C'est la chef du gang, Enna, qui ouvre la marche : "un roman très riche et complexe sur la maltraitance, sur la maladie mentale, sur le déni, sur l'amour d'un enfant pour ses parents coûte que coûte, sur la résilience aussi. C'est un roman sur un homme qui a construit sa vie sur un champs de bataille". Elle est suivie de son bras armé, Marjo, qui, sans rien cacher du côté un peu auto-fictionnel du roman (qui pourrait me faire fuir), parle du talent de l'auteur qui "une nouvelle fois, avec beaucoup de pudeur, de force et de sensibilité, puise au plus profond des relations humaines et familiales. Son écriture est toujours aussi percutante, à la fois simple mais bouleversante dans ses phrases minimalistes et épurées." Elles sont toutes les deux rejointes par Fleur, guetteur du gang, qui salue également "un roman d'une très grande force et d'une très grande intensité dramatique. Certaines scènes sont extrêmement saisissantes par la simplicité avec laquelle elles sont décrites et par leur cruauté". Chalandon se maintiendra-t-il avec l'arrivée de nouvelles sorjettes ou bien va-t-il s'essouffler avant Noël ? Mystère, mystère...
C'est la chef du gang, Enna, qui ouvre la marche : "un roman très riche et complexe sur la maltraitance, sur la maladie mentale, sur le déni, sur l'amour d'un enfant pour ses parents coûte que coûte, sur la résilience aussi. C'est un roman sur un homme qui a construit sa vie sur un champs de bataille". Elle est suivie de son bras armé, Marjo, qui, sans rien cacher du côté un peu auto-fictionnel du roman (qui pourrait me faire fuir), parle du talent de l'auteur qui "une nouvelle fois, avec beaucoup de pudeur, de force et de sensibilité, puise au plus profond des relations humaines et familiales. Son écriture est toujours aussi percutante, à la fois simple mais bouleversante dans ses phrases minimalistes et épurées." Elles sont toutes les deux rejointes par Fleur, guetteur du gang, qui salue également "un roman d'une très grande force et d'une très grande intensité dramatique. Certaines scènes sont extrêmement saisissantes par la simplicité avec laquelle elles sont décrites et par leur cruauté". Chalandon se maintiendra-t-il avec l'arrivée de nouvelles sorjettes ou bien va-t-il s'essouffler avant Noël ? Mystère, mystère...
C'est un autre roman très attendu de la rentrée qui surgit dans le non-challenge, attendu parce que l'auteur dort avec un célèbre animateur-à-la-mèche et surtout parce que son précédent opus en avait bouleversé plus d'un(e) (moi comprise, c'est dire). C'est Bénédicte qui nous livre le premier billet-pépite sur D'après une histoire vraie de Delphine de Vigan chez Lattès. Je n'insulterai aucun de mes lecteurs de blog en rappelant que la romancière a priori se met en scène dans ce titre en intégrant un nouveau personnage, son amie L. Si je ne peux taire le fait que ma clique (une bande de non blogueuses ou ex-blogueuses qui feraient bien de rouvrir leur site) a crié et crie encore au scandale au sujet de ce livre, en bonne organisatrice de ce non-challenge, je citerai Benedicte qui nous parle d'"un roman ambitieux, dense, aux frontières floues entre l’autofiction, l’exofiction et le roman à suspense. Un mélange des genres réussi d’autant plus essentiel qu’il aborde en filigrane la création littéraire, l’auteur et ses doubles et le pacte de lecture avec son lecteur. Etes-vous prêts à remettre en question vos certitudes?". Moi je suis prête et je serais ravie d'être en désaccord avec mes copines.
C'est avec plaisir que le premier roman anglophone fait son entrée dans le non-challenge avec L'Oiseau du bon Dieu de James McBride chez Gallmeister. Sa prestation en avait enthousiasmé plus d'un à La Grande Librairie, et ce n'est pas le billet de Fleur qui dira le contraire. On savait déjà que c'était l'histoire d'un petit garçon noir qui se fait passer pour une fille, mais c'est aussi et surtout le portrait du "tuteur" de l'enfant, un blanc abolitionniste qu'on observe par les yeux d'un enfant noir: "Cela donne une histoire extrêmement drôle, truculente et savoureuse. Brown apparaît ainsi à la fois comme un héros du fait de son engagement philosophique et militaire pour l'abolitionnisme mais il apparaît également comme un parfait fanatique religieux. James McBride réussit parfaitement à raconter la complexité de cet homme incroyable et il arrive à écrire cette histoire très sérieuse et triste avec énormément d'humour. "Visiblement, il n'y a pas qu'au saxophone que McBride excelle.
C'est également avec un grand plaisir que le Mathias Enard et son Boussole chez Actes Sud fait sa rentrée dans ce non-challenge, avec Mina, l'incontournable et délicieuse marquise belge, qui ne cache rien du contenu érudit de ce roman pour mieux en vanter la beauté. On sait que c'est l'histoire d'un musicologue au seuil de sa vie qui revient sur ses souvenirs et ses passions orientales, on sait aussi que chez Enard il y a du fond mais pas que, et on salue la très belle conclusion de Mina: "s’il n’est selon moi pas nécessaire de disposer de connaissances approfondies des disciplines abordées pour apprécier ce roman, il faut accepter de suivre Mathias Enard sur ce terrain de l’érudition, sans s’attendre à ce qu’il nous prenne par la main ; sa démarche n’est ni hermétique ni pédagogique ou de vulgarisation. Pour moi, ce fut une lecture passionnante, exigeante et délicieusement foisonnante." Encore présent dans le dernier carré du Goncourt, Enard n'a pas fini de faire des adeptes tout en faisant en fuir d'autres. Je me permets de noter qu'au Masque, un chroniqueur a parlé d'un roman magistral et peut-être qu'il fait partie de ceux qui se méritent ("serai-je à la hauteur ?" reste donc la question d'actualité).
Enfin, et c'est aussi l'un des plaisirs de ce non-challenge que de voir surgir des titres plus confidentiels , moins médiatisés, sur aucune liste de prix ni invités chez Busnel mais qui ont su trouver leurs lecteurs. Je finirai donc ce point avec Les maîtres du printemps d'Isabelle Stibbe chez Serge Safran Editeur, dont je rappellerai qu'il nous transporte dans les usines sidérurgiques menacées en brossant des portraits de personnages à la fois au coeur de la lutte et à la charnière d'un monde qui change. C'est avec un grand plaisir que j'accueille la Petite Balabolka qui nous livre sa première pépite : "C'est avec une très belle qualité d'écriture qu'Isabelle Stibbe rend compte de l'âpreté de cette lutte et des enjeux humains qui lui sont attachés. Le vocabulaire est juste, pertinent, riche ; le style s'autorise quelques envolées lyriques ou musclées mais toujours bien dosées." Stibbe n'avait pas laissé les blogueurs insensibles avec son Bérénice, attendons de voir la route que fera ce nouvel opus.
Enfin, et c'est aussi l'un des plaisirs de ce non-challenge que de voir surgir des titres plus confidentiels , moins médiatisés, sur aucune liste de prix ni invités chez Busnel mais qui ont su trouver leurs lecteurs. Je finirai donc ce point avec Les maîtres du printemps d'Isabelle Stibbe chez Serge Safran Editeur, dont je rappellerai qu'il nous transporte dans les usines sidérurgiques menacées en brossant des portraits de personnages à la fois au coeur de la lutte et à la charnière d'un monde qui change. C'est avec un grand plaisir que j'accueille la Petite Balabolka qui nous livre sa première pépite : "C'est avec une très belle qualité d'écriture qu'Isabelle Stibbe rend compte de l'âpreté de cette lutte et des enjeux humains qui lui sont attachés. Le vocabulaire est juste, pertinent, riche ; le style s'autorise quelques envolées lyriques ou musclées mais toujours bien dosées." Stibbe n'avait pas laissé les blogueurs insensibles avec son Bérénice, attendons de voir la route que fera ce nouvel opus.
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Des Livres et des Blogs
Bénédicte (bibliothécaire d'entre les lignes)
- Profession du père de Sorj Chalandon
Marjo (binômette un jour, binômette toujours)
- Profession du père de Sorj Chalandon
Petite Balabolka
De cette sélection, je n'ai lu que Boussole et L'oiseau du bon Dieu.
RépondreSupprimerSi j'ai une nette préférence pour le premier, le second vaut largement le détour et tous les deux méritent leur statut de pépites.
J'ai hâte de lire ce que tu en auras pensé.
Ah ah , tu as donc lu Boussole avant son Goncourt Laurent, ça me donne encore plus envie de le découvrir.
SupprimerBelle fin d'année à toi.
Oh là là, il faut que je fasse connaissance avec Bénédicte ! Je m'inscris à ce non-challenge avec les deux mêmes titres qu'elle ;-)
RépondreSupprimer(Quant au Chalendon, je l'ai réservé à la bibliothèque...)
Je ne sais pas si depuis j'ai enregistré tes liens Delphine, toujours est-il que tu peux retrouver Benedicte sur le groupe FB des pépites ;-)
SupprimerDes bises
La sélection est assez variée et en effet, se concentre sur des livres médiatisés et attendus pour les prix littéraires, je parle des français. Je n'ai lu que D'après une histoire vraie. Le reste n'est pas pour moi enfin si les maîtres du printemps à l'air vraiment bien.
RépondreSupprimerJe crois avoir reconnu une blogueuse qui un temps eut un blog, qui n'a pas aimé Delphine de Vigan dans son dernier livre et n'a rien compris au Binet, au point de lui tomber des mains...
Ah bah mince, tu parles de qui MTG ? Malika ? (qui avait aimé "rien ne s'oppose...."). Je n'ai lu que HHhH de Binet et j'ai été moins séduite que d'autres, donc j'attends la sortie poche du langage.
SupprimerSnif tu m'as oubliée avec le Chalandon ;-)
RépondreSupprimerhttp://tu-vas-t-abimer-les-yeux.blogspot.it/2015/08/profession-du-pere-sorj-chalandon.html
Alors là pardonne-moi Maxi Vav, cette année je suis vraiment à la ramasse, je te rajoute immédiatement.
Supprimer(Au risque de me faire huer), je n'ai pas aimé le Chalandon. Je n'ai pas écrit de billet, c'était mon premier livre de cet auteur, je préfère lui donner une une seconde chance (mais pas tout de suite) ... Sinon, j'ai le Delphine de Vigan qui semble génial et j'ai hâte de mettre la main sur "Boussole" depuis LGL.
RépondreSupprimerTu n'es pas la seule Mrs Figg, mais peu de blogueurs ont fait des billets lorsqu'ils ont été déçus du Chalandon, ce que le trouve extrêmement dommage. Hâte d'avoir ton avis sur le Vigan et Boussole.
SupprimerDis-donc tu fréquentes des gangs ??!!! Shocking :-)
RépondreSupprimerEt si tu connaissais celui des SOrjettes, tu serais encore plus choquée ;-)
SupprimerAh oui, il aurait fallu que j'envoie.... Mais, voilà, j'ai oublié. Mais, au fait, fais-je partie de ce challenge ?
RépondreSupprimerJe confirme pour les Maîtres du printemps :superbe
J'ai acheté la septième fonction du langage, mais je ne l'ai pas encore ouvert !
Mathias Enard, bien sûr, je le lirai, je l'aime
Chalendon, non, ce n'est pas pour moi, pas plus que Delphine de Vigan
Mac Bride me tente beaucoup
Tu as juste à me déposer le lien des Maîtres du printemps si tu le souhaites Zazy, pas d'inscription pour ce challenge qui n'en est pas un ;-)
SupprimerJ'ai beaucoup aimé "Les maîtres du printemps" aussi, mais pas jusqu'à en faire une pépite. J'en suis à 25 titres de la rentrée et toujours rien. Mais j'ai bon espoir avec un américain que je vais attaquer très bientôt.
RépondreSupprimerOn a tout le temps de toutes manières (25 titres de la rentrée, tu sais que tu m'impressionnes quand même)
Supprimereuh...si c'est de moi qu'on parle ici ou là...je n'ai pas lu le De Vigan :-) (c'est le Angot qui m'a , comment dirais je , irritée...) mais effectivement le Binet m'est tombé des mains (pour moi, trop bavard et trop potache pour prétendre à un vrai contenu, mais ce n'est que mon humble -si si- avis.) J'en suis à Boussole dont l'érudition relève le niveau, assurément (en cours de lecture ; tiendrai je sur les prochaines trois cents pages ?...)
RépondreSupprimerJe fais finir par devenir plus populaire à l'arrêt qu'en activité ? Mouahaah !
Nan je pense qu'il parlait de Malika Mior, ils se sont un peu accroché au sujet de Vigan (tu sais comment ils sont ;-)
SupprimerPas de pépites chez moi pour le moment, je ne lis pas trop les ouvrages de la rentrée. J'en ai réservé un à la bibli, on verra ... Le Delphine de Vigan ne me tente pas du tout, Chalandon, rien ne presse. C'est celui d'Isabelle Stibbe qui me tente le plus dans l'immédiat.
RépondreSupprimerOui moi aussi Aifelle, et je dirai même, son précédent qui me tente énormément ;-)
SupprimerJe guette les pépites, je guette... et je te préviens quand j'en déniche une, une vraie ! ;-)
RépondreSupprimerJe reste à ta disposition Noukette
SupprimerDe tous ceux-là, le seul qui me donne vraiment envie est "Boussole". Je rêve de trouver la perle rare, enfouie dans les rayons de ma librairie, mais je crois que ça tient de la quête du Graal !
RépondreSupprimerPas tant que ça je pense, je trouve qu'avec le temps, on sait davantage ce qui risque de nous plaire ou pas ;-)
SupprimerRIen chez moi pour le moment. J'ai lu de bons livres, comme le Benameur, mais il y a quelque chose qui me retient de le pépiter, sans que je puisse vraiment identifier quoi. On verra, il me reste plein de romans à lire de cette rentrée comme le Chalandon, le Enard, le Garat, le Binet, le Nathan, le Schneck (mais là ça m'étonnerait) ou le Jaenada ;^)
RépondreSupprimerMoi c'est marrant mais je me dis que je les lirai l'année prochaine, ou même après en poche, ceci dit heureusement que tout le monde ne fait pas comme moi, sinon ce non-challenge n'aurait pas lieu d'être...
SupprimerSi on m'avait dit il y a deux ans, quand tu as lancé ton projet, que je pépiterais le Goncourt de l'année, avant qu'il ne soit primé même, je ne l'aurais pas cru ; comme quoi, tout arrive, et je persiste et signe, ce Goncourt est mérité ! Je ne dirais pas qu'il faut être à sa hauteur, mais accepter d'entrer dans son sillage, et je ne pense pas que tu sois quelqu'un à qui cela pourrait faire peur ; j'attends ta lecture un de ces jours, en croisant les doigts pour que tu l'aimes.
RépondreSupprimerJ'avais été très tentée par le Binet, par l'idée de la linguistique dans un roman, mais depuis que j'ai su par Papillon que c'était bien barré, je crains que ce ne soit pas pour moi, ce n'est pas cette fois encore que je lirai mon homonyme... J'attendrai tout de même les autres avis, je trouve intéressants les débats qui l'entourent.
Pour De Vigan, j'imagine que commencer par Rien ne s'oppose à la nuit serait un bon début, avant de vouloir attaquer le dernier ?
Le Binet me fait un peu peur aussi maintenant, j'ai vraiment hâte d'attaquer Boussole même si je t'avoue qu'il me fait peur quand même. pour le Vigan, je n'ai lu que "rien ne s'oppose..." et je l'ai vraiment aimé, donc j'ai toutes les chances d'être déçue par celui-là malheureusement.
Supprimerdes bises Mina.
J'ai beaucoup aimé La 7e fonction du langage. Et puis Mathias Enard est maintenant Prix Goncourt.
RépondreSupprimerOui je dois dire que Mina a été carrément avant-gardiste sur ce coup là !
SupprimerJ'en ai lu deux et les deux sont récompensés !!! Boussoles et d'après une histoire vraie. Je préfère le premier !
RépondreSupprimerTu ne m'étonnes pas du tout Enitram...
SupprimerPas de grosses surprises parmi ces premières pépites.. Je suis ravie de constater l'entrée d'un roman publié chez Gallmeister, qui n'est pas hyper visible sur la blogo. Je retiens De Vigan, mais pour plus tard, et en commençant avec Rien ne s'oppose à la nuit, comme Mina. Et il faudrait aussi que je découvre la plume de Chalandon!
RépondreSupprimerC'est vrai Laeti sauf que vraiment Gallmeister, je l'ai découvert avec la blogo justement ;-)
SupprimerDes bises la belle.
Me revoilà avec le lien ! Ha bé oui, quand j'ai vu que personne n'avait pépité "La terre qui penche" de Carole Martinez, mon sang n'a fait qu'un tour ! :D Alors qu'il a été pas mal lu et aimé qui plus est... Bref ! Voici le lien :
RépondreSupprimerhttps://leslecturesdasphodele.wordpress.com/2015/11/06/la-terre-qui-penche-de-carole-martinez/
Et j'ai déjà donné les raisons de mon amour pour cette auteure ! Je lirai Boussole, certainement et le MacBride mais pas ce Chalandon, j'ai vu un billet d'une adepte qui a été très très déçue, donc je découvrirai Sorj avec un autre titre (dans quelques années^^) ! Bon, Bises Galinette, porte-toi bien ! ;)
TU sais à quel point ce coup de coeur de ta part me fait plaisir Aspho ;-) C'est noté évidemment. Merci beaucoup de ta participation. Je lirai Boussole aussi
SupprimerJe suis décidément bien tentée par "Boussole". Mina sait donner envie!
RépondreSupprimerSurtout qu'elle est assez pointue sur ce coup-là !!!
Supprimeroh, ça fait quelque chose de lire un petit bout de ma chronique sur ton blog ! Merci Galéa.
RépondreSupprimerBon, je ne connais pas les livres de Chalandon et cela devient résolument impossible de continuer ainsi. Je demande officiellement conseil au "gang des sorjettes" : par lequel dois-je commencer ?
Je n'en fais pas partie car je n'en ai lu qu'un seul, mais j'ai aimé "Retour à K" et beaucoup autour de moi ont adoré le 4ème mur...à toi de voir ;-)
SupprimerL'Oiseau du Bon Dieu est génial <3
RépondreSupprimerTous les livres chez Gallmeister sont top de toute façon :p
Tu sais que je ne suis pas certaine d'en avoir déjà lu un ....
SupprimerBonjour....j'ai lu ce billet....et là...je ne sais quoi choisir....Indécise ,suis-je. Cela arrive. Merci pour ces présentations.
RépondreSupprimerAvec plaisir Hécate, ce sont les blogueurs qu'il faut remercier.
SupprimerJe suis contente de voir Chalandon dans le classement même si cette fois je ne l'ai pas pépité (oui oui pépité!) Je n'ai toujours pas fait mon billet sur la terre qui penche qui lui est une petite pépite... ça viendra ... Malgré les autres pépites je ne suis pas spécialement emballée.
RépondreSupprimerAh oui c'est vrai toi aussi tu as adoré le Martinez....
Supprimerje ne connaissais pas le gang des sorjettes, je m'y inscris les yeux fermés! Je survalide ce choix de pépite...J'hésite encore sur le De Vigan...merci Galéa de ce billet avec ton style toujours aussi drôle/
RépondreSupprimerMerci à toi Laurie d'être toujours dans le coin ;-)
SupprimerJe viens de finir le De Vigan et je suis emballée. Elle fait un sacré pied de nez à ses détracteurs et ça me plait bien !
RépondreSupprimerTrès tentée par le Chalandon et par le Enard mais pas par le Binet car j'ai l'impression que c'est trop intello pour moi.
Ah tu vois le Binet soit on craint qu'il soit trop foutraque, soit on craint que ce soit trop pointu...A creuser donc.
SupprimerOui j'ai lu ton billet sur le Vigan...tu as choisi ton camp Sylire.
J'ai failli râler un peu (eh oui, le naturel revient parfois au galop) en disant, rien de neuf sous le soleil et je vois ce dernier livre dont je n'ai pas entendu parler. Je file lire ce billet.
RépondreSupprimerAh ah , tu vois il ne faut jamais désespérer...
SupprimerAh ah ;-) tu me fais rire avec la description que tu fais de moi ;-) Mais j'assume ;-) Et je vais revenir en décembre avec un nouveau coup de coeur pour "D'après une histoire vraie"... Alors finalement, au vu du top des ppites, je suis très mainstream ;-) à bientôt!
RépondreSupprimerTu plaisantes Enna, tu es carrément au top de la branchitude littéraire oui ;-)
SupprimerMerci de tes participations.