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dimanche 30 juillet 2017

Ecrivains de papier

Toujours à la pointe de la branchitude, je me suis dit que publier un billet, le dernier dimanche de juillet, LE jour du chassé-croisé des juilletistes et des aoûtiens, alors que personne n'allume son ordinateur parce que tout le monde est dans sa voiture, c'était la garantie de développer les audiences de mon blog balbutiant. D'autant qu'avec une publication tous les deux mois, je pense pouvoir dire sans me vanter, que je suis virtuellement plutôt active.

Je présente évidemment mes excuses pour la qualité tout à fait relative de cette vidéo. Se lancer dans un projet de ce genre après un Festival du livre, à la limite, ça a du sens, parce qu'on croule sous les images; alors que là, honnêtement pour illustrer j'ai eu un peu de mal. Le résultat est donc légèrement atypique et approximatif.

A mi-chemin entre la chronique littéraire, les photos de mes non-vacances, et les instants familiaux pris sur le vif, je tente de vous parler de deux livres: L'Ecrivain national de Serge Joncour, et Derniers feux sur Sunset de Stewart O'Nan. C'est imparfait, laborieux et désordonné, je m'aperçois que j'ai de sacrés tics de langage (moi qui il y a bien longtemps me moquais d'une auteur de LGL qui répétait tout le même mot, espérons qu'elle ne tombera pas sur cette vidéo - "finalement" n'est pas pire que "voilà"). Mais à la limite en publiant aujourd'hui, je ne prends pas vraiment de risques quant à ma réputation. J'espère m'améliorer pour les prochaines fois (vu mon rythme actuel: vers octobre à mon avis)

Bref, j'avais envie de parler des écrivains dans les romans, de ceux qui ont vraiment existé (ou qui existent toujours d'ailleurs) et qu'on parachute au coeur d'une histoire.


Très beau mois d'août à tous